Ou quand ne plus pouvoir acheter devient torture

Image extraite de Confessions d'une accro du shopping
le film adapté du livre du même nom de Sophie Kinsella 


     C'est un fait, j'aime acheter. Ma carte bancaire comme alliée, j'aime glaner le long des allées du centre commercial en bas de chez moi et dénicher des choses qui me plaisent. 
     Mais ces derniers temps, c'est devenu un luxe que je ne peux plus me permettre. Mes derniers livres achetés sont mes livres de cours (ça c'est un exploit). Des fois, c'est dur d'être une fille et en plus, d'être étudiante.        
     Là, j'ai hâte Noël pour pouvoir faire les magasins avec ma mère (qui m'a transmis sa passion du shopping, faut bien se l'avouer). 
     Tout à l'heure je feuilletais un magazine de "filles" et j'ai vu un article Prix mini. Forcément, ça m'attire, je jette un coup d’œil, j'inspecte chaque prix et je me rends compte qu'on n'a absolument pas le même budget. Dépenser plus de 100 euros dans une paire de chaussures et plus de 70 euros dans un gilet, non, effectivement, je ne peux absolument pas me le permettre. Mon désarroi était d'autant plus grand qu'au vu des prix des autres pages "mode" de ledit magazine, c'était manifestement les prix les plus minis qu'ils aient pu trouver. 
     Du coup, depuis cet aprem, je veux me marier avec un riche "Luke Brandon" (le mari de Becky dans les livres cultes de toutes dépensières : l'accro du shopping). Heureusement que c'est pas totalement compulsif !!

Et vous les filles, votre rapport avec le shopping ?

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