Auteur : Callie Hutton
Genre : romance, fiction historique
Editions Charleston
Coll. Diva
Parution en juin 2016
336 pages
Genre : romance, fiction historique
Editions Charleston
Coll. Diva
Parution en juin 2016
336 pages
Résumé
Pénélope est invitée, sur ordre de sa tante, à faire son
entrée dans la vie mondaine londonienne. Loin d’être contente, la jeune fille
timide est envoyée chez le Drake, duc de Manchester dont la sœur fait également
son entrée dans la haute société.
Mon avis
En début d’année, j’ai
lu le premier tome [AVIS ICI] de cette nouvelle série de romans
des éditions Charleston. J’avais énormément ri et pris beaucoup de plaisir à
lire les déconvenues du comte de Coventry et de sa charmante épouse, Lady Mary
Olivia.
Dans ce second tome,
nous suivons un ami très cher du comte, le duc de Manchester. Il est bien
décidé à trouver l’épouse parfaite, celle qui tiendra la maisonnée Manchester d’une
main de maître. Pénélope a une passion pour les plantes, ce qui la pousse dans
des situations incongrues dans les jardins boueux. Habituée à vivre seule, les
mondanités vont vite la dépasser.
Contrairement au tome
1 de cette série, Drake et Pénélope ne sont pas mariés et l’un tient absolument
à se marier avec l’épouse parfaite tandis que l’autre ne veut pas se marier et
veut retourner dans sa campagne loin des mondanités. Pénélope a une
personnalité très touchante ; maladroite et timide, on ne peut que se
prendre d’affection pour la jeune femme. Par contre, Drake m’a profondément
agacé avec sa vision de l’épouse modèle, contre l’amour et tout le blabla. J’ai
trouvé que l’assemblage de ces deux personnalités n’était pas forcément quelque
chose qui m’a fait rêver. Quand j’entame ce genre de romances, je m’attends à
ce que le couple me fasse rêver. Ici, non.
En bref, même si
Pénélope est un personnage intéressant, j’ai trouvé que Drake gâché l’intrigue
et même s’il vire de bord à la fin du roman, son idée de la perfection et du
couple est agaçante. Je sais que c’est une fiction historique et qui, donc, s’appuie
sur une réalité historique de la société et pourtant, je n’ai pas cru à la
magie de leur histoire.
Commentaires
Enregistrer un commentaire