Bilan du mois : Juin 2020

"Whaaat ! Un bilan alors que tu lis pas ?!" 

Oui ! j'ose et en fait je me suis rendue compte que j'ai lu davantage en juin qu'au mois de mai. Comme quoi ces petits bilans mensuels servent à me réconforter quand je pense ne plus arriver à lire ;) 

On regarde ce que ça donne ?






  





Assez déçue par ce tome 1 qui ne m'a pas conquise. Je vous en parle plus longuement : ici



  

 Le réveil des sorcières de Stéphanie Janicot (Albin Michel, 2020) 336 pages : un roman assez déroutant étrange mais le style de l'autrice donne envie de suivre SoAnn et la narratrice. 

 Le jardin de la dame de Murakami de Mario Belletin (Cambourakis, 2020) 95 pages : un roman japonais écrit par un mexicain, ça désarçonne mais tout y est pour qu'on y croit mais avec ce petit truc propre à la littérature hispanophone. 

 Un loup quelque part d'Amélie Cordonnier (Flammarion, 2020) 288 pages : un roman glaçant qui aborde un thème peu traité en littérature et surtout, très tabou. 

 Le soleil se lève aussi d'Ernest Hemingway (Gallimard Folio, 1972) 276 pages : le truc avec Hemingway, c'est que son écriture ne prend pas sur moi et ici encore, je n'ai pas réussi à apprécier cette lecture. Je vous explique pourquoi : ici

 Sauf que c'étaient des enfants de Gabrielle Tuloup (Philippe Rey éditeur, 2020) 169 pages : un roman choquant par son sujet nécessaire qui clairement est traité avec intelligence et humanité.  

 La mise à nu des époux Ransome d'Alan Bennett (Gallimard Folio, 2011) 117 pages : une petite pause so british dans laquelle il ne se passe pas grand chose mais qui passe bien entre deux lectures graves. 

 La dame à la camionnette d'Alan Bennett (Gallimard Folio, 2015) 112 pages : deuxième petit roman so british mais d'un autre style puisque l'auteur écrit sur une femme sans abri qu'il a réellement vu vivre dans sa camionnette pendant des années. Très touchant. 

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